| Yume Membre Rouge |
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| Sujet: Re: [Creepypasta] Les fréquences manquantes de Lavanville - Sam 16 Aoû - 20:40
Dommage que la Creepypasta soit pas en entière.
Voilà un petit c/c d'un site où je trouve de bonnes creepypasta.
Le syndrôme de Lavanville (Lavender Town Tone) Introduction "Le syndrome de Lavanville" est une légende qui implique des étranges cas médicaux et mortuaires dans le pays de naissance de la série de jeux "Pocket Monsters" (Pokémon), "Rouge" et "Vert" (Bleu en Europe, NdT). Bien que l'évènement est resté secret à cause des lois de divulgations pour les entreprises basées à Kyoto, il y a une grande quantité d'informations qui ont été mis en lumière par un nombre précis d'individus, incluant 関 内直 (Seki Uchitada), 伊勢 満朝 (Ise Mitsutomo) et 佐藤 治情 (Satou Harue), à qui cette page est dédiée. Merci aussi à 安藤 景忠 (Andou Kagetada) pour les éventuels gifs animés et images. Cette analyse parlera de l'autre phénomène que l'on confond souvent avec le syndrome de Lavanville ; "le sprite de la main blanche", "l'animation du Ghost" et "le sprite de l'enterré vivant", ainsi que les notes développeurs insérés dans le jeu qui auraient rapport avec ça, et comment procéder à l'affichage de ces "easter eggs" dans ces premières vagues de cartouches.
Histoire du jeu Le premier cas du syndrome et des évènements associés ont été rapportés quelques mois après la sortie de "Pocket Monsters Rouge et Vert" pour la console portable "Game Boy". Ces jeux sont devenus très populaires pour les enfants agés de 7 à 12 ans, ce qui ne fait aucun doute que l'une des raisons pour laquelle le syndrome de Lavanville a eu le degré de sévérité qu'on lui connait. Dans le jeu, le joueur joue le rôle d'un "dresseur", dont la tâche est de capturer, élever et entrainer des créatures sauvages nommées "Pocket Monsters" pour le combat. Ces jeux, et les deux suites qui suivront, "Pocket Monsters Or et Argent", un animé, un manga, des figurines, un jeu de cartes à collectionner et les jeux sur consoles de salon a conduit Pocket Monsters à devenir une franchise multi-milliardaire. A un moment du jeu, le dresseur vient dans une petite ville nommée "Lavanville" (シオンタウン). Cette ville est l'une des plus petites du jeu (en plus de Bourg-Palette, la ville de départ du joueur), et possède très peu de services disponibles pour le dresseur dans toutes les autres villes du jeu - d'ailleurs, elle serait passée inaperçue si la "Tour Pokémon" (ポケモンタワー) ne s'y trouvait pas - un building colossal qui contient une centaine de tombes de Pokémons décédés. Une théorie dit que, à cause de cet endroit dans le jeu, au moins 200 enfants ont perdu la vie, et beaucoup plus ont été affectés ou sont tombés malades - et sans compter les autres cas de ce genre qui n'ont pas été répertoriés.
Historique de la pathologie Ce ne fut pas avant le printemps/été 1996 que ces cas furent éventuellement liés au syndrome de Lavanville. Le tout premier cas de connaissance des effets du syndrome que l'auteur a pu trouver vient d'un rapport interne fait en juin 1996 par la compagnie Game Freak Inc. (株式会社ゲームフリーク), dirigée par un de ses employés, Ms. Satou Harue. Dedans, un employé a donné une liste de noms, dates et symptômes - enregistrements d'enfants entre 7 et 12 ans qui ont souffert de divers problèmes médicaux après avoir joué à Pocket Monsters Rouge et Vert. Certaines de ces données sont ci-dessous, avec la liste complète dans l'Appendix A. (Notez que les entrées dans l'Appendix incluent également les symptômes non nés de Lavanville [un phénomène audio] mais du "sprite de la main blanche", "l'animation du Ghost" et "le sprite de l'enterré vivant", tous ces symptômes visuels ont été détectés avec des similitudes.
京极 勝女; 12 avril 1996 (11). Apnée du sommeil obstructive, migraines sévères, otorragie, tinnitus.
千葉 広幸: 23 mai 1996 (12). Irritabilité générale, insomnies, addiction aux jeux vidéo, saignements de nez. Développe de la violence envers autrui et parfois à lui-même. [自殺]
桃井 久江: 27 avril 1996 (11). maux de tête, irritabilité. Prend des anti-douleurs mélangés. [自殺]
吉長 為真: 4 mars 1996 (7). Migraines, lenteur et fatigue permanente, perte d'attention. a développé une surdité, et a disparu. Corps retrouvé au bord d'une route le 20 avril 1996. [死出]
Ce document interne montre que ces incidents étaient connectés au jeu Pocket Monsters - Jusque là, la cause n'a pas encore été découverte ou diagnostiquée par les professionnels de la médecine. De plus, il est incertain que l'entreprise elle-même ait compris d'elle-même que les cas étaient liés au jeu sans avoir consulté les services de santé.
Detail de pathologies -- "Syndrôme de Lavanville" Le symptôme prédominant nommé "Syndrôme de Lavanville" inclut maux de tête et migraines, saignement des yeux et des oreilles, changement d'humeurs et irritabilité, addiction aux jeux, violence spontanée, réclusion et perte d'attention, et dans 67% des cas, tendances suicidaires. Cependant, ces symptômes se manifestent sur les enfants entre 7 et 12 ans qui ont atteint la zone de "Lavanville", la plupart ont avoué avoir porté des écouteurs en jouant au jeu. Les développeurs de Lavanville voulaient au départ faire une zone qui "laisse une impression différente au joueur", d'après Seki Uchitada, membre de l'équipe de développement. Seki dit qu'au moment du développement, plusieurs développeurs voulaient faire de Lavanville un coin différent du reste du jeu. "La tour Pokémon en est un résultat visible," nous dit Seki ゲームの次元 ("Game's Dimensions" Magazine) dans une interview tôt dans l'année. "Cela et le fait que Lavanville soit différent des autres villes : elle est plus petite, a moins de résidents, n'a pas d'arène de champion... et bien sur, la musique était très, très étrange. En fait, dans la première version du jeu, on nous a demandé de changer légèrement la musique de fond de la ville... Parce que ça pourrait ennuyer les enfants. La musique utilisée au final est différente." Seki ne savait rien de l'impact de la musique de Lavanville, ou bien il modérait ses paroles quand il disait combien les enfants pourraient être "ennuyés" - rien de plus à propos de la musique, mais il y a d'autres mentions macabres sur Lavanville.
Ce que Seki a oublié de mentionner dans Game's Dimensions Magazine était que la musique utilisée dans la première production de Pokémon Rouge et Vert formulait une expérimentation sur les "binaural beats": utilisant différentes fréquences de sons, chaque fréquence jouée pour une oreille à la fois par les écouteurs, différents effets psychologiques ont pu être observés sur le sujet qui les écoute . Dans la plus part des versions, cela résultait au joueur se sentant mal, ayant de l'appréhension, et moyennement dérangé. Cependant, pour environ 200 enfants, cela a provoqué une variations de désordres au cerveau qui ne purent être purement détéctés par des oreilles adultes pleinement développées - seuls les enfants étaient victimes de ces sonorités, résultant à ces problèmes psychologiques et physiologiques qui dans certains cas aboutissaient à la mort - des suicides pour la plupart. Cependant, le Syndrome de Lavanville n'est qu'un des problèmes qui cause des problèmes aux malchanceux qui ont eu ces séries de cartouches. Bien qu'ils furent moins connus, il y a une variété d'effets visuels utilisés dans Lavanville qui ont causé des problèmes médicaux aux enfants, certains toujours disponibles dans les séries de productions qui ont suivi. Détails de pathologies - Les sprites Ces effets visuels sont connues dans le monde de la programmation comme "le sprite de la main blanche"", "L'animation de Ghost" et "Le sprite de l'enterré vivant". Chacun a causé des maux de tête, nausées, et dans les cas graves, hémorragies du cerveau. Alors que 70% du syndrome de Lavanville (LTS) est due à la musique de Lavanville, le reste est divisé par ces phénomènes visuels. C'est en partie du à un stimuli visuel arrivant après que le joueur ait entendu la musique de Lavanville. Une théorie dit que ceux non affectés par la stimulation audio, comme les sourds et les malentendants, amènent aux 30% restants. Alors que voir ces sprites peut causer ces effets, il y a des méthodes précises qui permettent au visionneur de les examiner en détail en toute sécurité.
Le Sprite de la main blanche Connue dans le code comme WhitHand.gif, il était scripté pour qu'il apparaisse en tant que Pokemon au troisième étage de la Tour Pokémon. Il est divisé en 4 animations séparées : une introduction (le "cri" qu'un Pokemon lâche avant une bataille), une fixe, et deux attaques. Ces attaques sont inconnues, n'étant nommées que "Poing" and "Brutal". Alors que voir l'animation a été prouvé d'être dangereux, voir les frames du modèle a été prouvé inoffensif. La main blanche semble en pièces et décomposée, avec une attention particulière sur les détails : la peau est pelée en laissant voir l'os, et quelques tendons pendent drastiquement hors du poignet. La première attaque est la main se changeant en poing, puis se balançant en avant. Cependant, l'animation de "brutal" semble manquer de frames : La main semble s'ouvrir puis ça coupe, puis recoupe. Après quelques secondes, elle réapparait, refermée. Les frames manquantes n'ont pas été retrouvées.
L'animation Ghost L'animation ghost, codé sous le nom Haunting.swf, devait être placé dans certaines zones de la tour, incluant le centre d'un chemin au second étage. Cependant, les joueurs ne peuvent pas interragir avec, laissant les gens penser que c'était simplement un élément du décor. L'animation doit être impérativement vue par frames, comme pour la main blanche. L'animation totalise 59 frames. Cependant, après extraction, la moitié des frames utilisées ont été gardées pour le sprite standard de fantôme de Pocket Monsters. Un quart des frames restantes sont du bruit blanc, pour faire un effet de "fondu". Mais, interspacés dans le bruit blanc, il y a certaines frames de visages hurlants, avec des images d'un squelette encapuchonné (Probablement le spectre de la Mort) et quelques cadavres. Leurs significations sont inconnues - D'un autre côté, le directeur de la programmation Hisashi Sogabe nous as certifié "n'avoir aucune connaissance sur la provenance de ces images." De tous les phénomènes associés au syndrome LTS, cette animation a le plus de spéculations : Dans la thèse "Video Games and The Manipulation of the Human Mind", le Dr. Jackson Turner affirme que ces images ont été placées là exprès. dû au bref moment de passage à l'écran, et la nature graphique de ces images, Turner théorise quelles étaient là pour subliminalement influencer les joueurs pour être plus effrayés par l'ambiance dérangeante de la zone.
Le sprite de l'enterré vivant Souvent référencé sous le nom "the Buryman script", l'enterré vivant est trouvé dans l'histoire finale de la Tour Pokémon, mais qui est aujourd'hui remplacé par l'Ossatueur fantôme. D'après les scripts qui y sont assignés, le sprite de l'enterré vivant devait être le "boss" de la tour. Une fois atteint le sommet, la conversation suivante prend place : Enterré vivant: Tu es là. EV: Je suis piégé... EV: Et je suis seul... EV: Tellement seul... EV: Veux-tu me rejoindre ? Après, le combat commence. Une fois en mode bataille, l'enterré vivant est apparemment un cadavre humain décomposé essayant de ramper au sol. Il avait été programmé pour avoir deux Mains Blanches, un Ectoplasma, et un Grotadmorv. Etrangement, un protocole pour les actions de l'enterré vivant après sa défaite n'ont pas été écrits. Dans le cas où le joueur le vainc, le jeu plante. Cependant, une fin spécifique a été écrite par un programmeur inconnu dans le cas où le joueur perd le combat. Dans cette fin, l'enterré vivant dit, "Enfin, de la viande fraîche !" suivi par des lignes de textes incompréhensibles. ensuite il tire le joueur à l'intérieur de sa tombe. Et la scène finit par un typique "Game Over" ; mais, en arrière-plan, une image de l'enterré vivant dévorant le joueur est visible.
Encore plus étrange sont les protocoles ouverts après cette scène. La cartouche télécharge cette image dans la petite mémoire interne de la console Gameboy, remplaçant l'habituel "Nintendo" qui s'affiche lorsqu'on démarre l'appareil. les deux bips de ce moment sont aussi remplacés, par un son au nom de code staticmesh.wav. L'intention de cet effet, contrairement aux facteurs amenant au syndrome LTS, est inconnue. |