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Source : Pokémon Trash http://www.pokemontrash.com/pokemon/porygon.php
Nous ne parlons pas de fiction, mais d'une histoire vrai qui c'est déroulé dans l'Arizona il y a quelque année de cela. Un éminent scientifique dont nous ne connaissons pas le nom, avait changé sa maison et son jardin en laboratoire et colin expérimental.
Le décès de sa bien-aimée le consumait chaque jours un peu plus, faisant de lui un homme solitaire et muet. Après la perte de celle-ci, son fidèle ami Baggy, un Caninos au dents longues partit pour de l'herbe plus verte, vers de nouvelles contrées. Il se retrouva donc totalement seul, il lui restait juste son laboratoire et son vaste terrain. Il était constamment devant son PC, regardant en bas a droite de son écran les heures qui passaient, les jours qui défilaient et les années qui fuyaient.
Le scientifique était perdu et fermé au monde, il mangeait des conserves, écrivait ses mémoires, surfait sur la toile, regardait par la fenêtre pensivement et piquait un somme pour ensuite recommencer ce cycle lassant et habituel. Ce pauvre homme se laissait mourir.

Un jour il cria « STOP », seul dans sa maison qualifiable de désert, instinctivement il cria ce mot. Peu après il sortit de sa maison pour le première fois depuis des lustres pour tourner en rond sur un relief accidenté. Du sable et de la roche aux alentours, des montagnes au loin.
Il eu l'envie de pivoter sur lui-même, et naturellement l'inspiration lui vint., comme s'il n'avait cessé de réfléchir pendant tout ce temps. Il retourna chez lui, se posa devant son ordinateur et créa un nouveau programme, qui fut nommé Porygon. L'origine de ce nom nous est inconnu.
Ce programme était semblable a une fenêtre pour un voleur, n'était ni plus ni moins qu'une issue de secours. Il avait perdu sa femme et son animal de compagnie, mais en tout cas il avait trouvé une bête parfaite. Elle était capable de communiquer, d'avoir des sentiments, de vivre à ses côtés.
Il mit beaucoup d'énergie et se donna à fond pour finaliser son programme, sacrifiant des journées entière et sautant même des repas. Il commença tout d'abord a réfléchir a la forme de son engin. Il eu l'idée de lui donner la forme de son Caninos, sans tablette graphique digne de ce nom, il ne put en refaire la copie conforme. Il se rendit donc compte que son Caninos était finalement tout a fait remplaçable.

Son engin était doté des facultés qu'a un humain, comme émettre des sentiments, communiquer et vivre aux côtés des humains comme le fait un Pokémon.
Il lui permit aussi d'attaquer et de se défendre, tel un vrai Pokémon.
Porygon était un vrai chef-d’œuvre. Le scientifique lui avait permis d'être humain, Pokémon et robot a la fois. Sa machine était enfin au point.
A la place des yeux il lui intégra deux écrans, remplaça le cerveau par une carte mémoire et insera une copie de son disque dur qui lui servait de cœur.

Grâce a cette merveille, le scientifique goûta de nouveau à la vie. Il remplaçait tout ce qu'il aimait par ce robot. Hors, il se lassa vite de son robot. Il était toujours en quête de meilleurs et décida d'améliorer son prototype.
Il se remit donc a travailler pour améliorer d'autant ça créature, il donna plus d'ardeur et de vitesse à son travail pour créer un software qui faisait, en quelque sorte, évoluer Porygon.
Il était d'autant plus performant et efficace, et grâce aux nouvelles technologies son efficacité et sa vitesse de travail était bien meilleur qu'avant.
Il finit son logiciel mais son acharnement l'avait rendu presque fou et à la finalisation de ce logiciel il était a l'agonie. Il installa la « nouvelle version » sur le premier Porygon qui évolua. Il se nommait a présent Porygon² . Il enregistra ses données dans l'améliorateur qu'il, juste après, inséra dans Porygon.
(Comme vous pouvez le voir, Porigon² et le contraire de Porygon car lui est sous forme arrondie tandis que son ancienne version était sous forme rectangulaire.)

Le savant ne testa guère la nouvelle version. Il avait soif de renouvellement et se remit au travail pour créer une nouvelle version. La conception était différente des deux premières fois : il ne mangeait plus, ne se lavait plus, ne marchait plus dehors ; ne vivait plus. Amaigri, il continuait sans cesse l'expansion de sa machine, l'améliorant dans les moindres détails, aussi futiles pouvaient-ils être. Son appétit d'enchérissement l'aveuglait, et peu-à-peu, son idéal changea. Ses pensées devinrent plus abstraites qu'avant. Il ne créait plus selon un modèle, il peignait comme si le Porygon2 eut été une œuvre d'art.
Le pauvre homme y passa les deux années qui suivirent pour achever enfin cette toute dernière version. Lorsqu'il eut fini, une larme roula sur sa joue, et il s'endormit dans un dernier repos. Le sommeil du juste. L'étincelle que l'on pouvait percevoir dans l’œil du scientifique s'était éteinte.
Il enregistra ses données sur le CD douteux, qui, après l'avoir finalisé l'installa dans Porygon² juste avant de mourir.

Le savant fut retrouvé par des « Pseudo-explorateurs » qui, soi-disant, visitaient l'Arizona.
L'expérience Porygon fut retrouvée, dans une autre pièce. Après cette flagrante découverte, Porygon fut ramené dans un centre d'étude technologique, qui nomma la machine Porygon-Z. (Le Z c'est la dernière lettre de l'alphabet, en gros ils ont choisis cette lettre car c'est la dernière, de façon a dire que c'est la dernière version. Charabia)
Cette engin fut dupliqué en plusieurs exemplaires qui sont maintenant téléchargeable via le net.
Porygon-Z est devenu plus grand que Porygon², il a les mêmes formes.
On prétend qu'a cause de son intelligence il perd un peu la boule. Porygon-Z est tellement performant qu'il s'est mis à apprendre et à modifier son comportement de manière non prévisible.

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