Si tu te casse un bras tu poura plus écrire zu clavier pov' tache :p

Vous lire m'a donné envie de m'y remettre. Écrit sans vraiment faire attention, à la va-vite.

De ses yeux pers, mordant une Nature agitée
Il débusque la faille, en brode les scolies
Laisse injurier son regard par les canopées
Aux grands discours à la politesse abolie

Sa paupière voile le chevalier offensé
D'une lande viride, il ne reçoit parjure
Fonte brûlante sur la joue, il augure
"Qu'elle soit prête à flétrir sans plus être adulée"

La Friponne y trouve des erreurs à regretter
Il reste immobile, accablé de supplications
Triomphe placide surgi de son pardon
Du bleu infuse le ciel jusqu'à l'empyrée

Il promène son regard distraitement réparé
Des brimbelles tombent de ses lèvres souillées

J'aime pas trop montrer mes poèmes car je les trouves soit débiles, soit clichés/cuculs

Mais bon j'en mets un quand même:




Que tu partes le jour
Si tu en as l’envie
Tant que tu reviens toujours
Pour une visite de nuit

Tu crains donc le soleil
Pour ça tu mets les voiles ?
Le ciel se teint vermeil
Reviens donc, mon étoile

Ce grouillement te gène ?
Permanent, instoppable
Pour toi rude, brut. Ebène
Pour moi sucré. Erable

Tu sais je te comprends
Tu sais, je peux t’aider
Tu sais je veux t’aider
A prendre ton élan

Pour toutes les grandes distances
Je t’achèterai une mule
Je tricoterai un pull
Contre le froid de l’errance

Je te forgerai une arme
Contre tes ennemis
Un tissu infini
Pour que tu sèches tes larmes


Je ne veux plus cacher
Ton existence aux autres
Et que tu sois l’apôtre
D’une utopie dorée

Prend ton envol, affirme-toi
Assume-toi et montre au monde
Qui tu es, pourquoi es-tu là
Et tu pourras sortir de l’ombre

Comme je n'ai plus jamais sommeil, j'ai écrit ça avant de me coucher hier soir. Je n'étais pas en forme, contrarié, craintif...

Mon enfant, coche ton silence
Bois dans un cauchemar, prospère
En proie aux terreurs carnassières
Subis le glaive et la balance

Quelle silhouette tourne des pages
Incandescentes d'un grimoire creux
Dressant des runes dans son sillage
Le djinn montre un air doucereux

Dans le linceul d'un revenant
Divague une mâchoire putride
La fixité du ricanement
Durcit ton visage de cariatide

Stridents cliquetis de tombales
Des zombies solistes qui meuglent
Comme de froides bêtes aveugles
Au fond de leurs prisons sépulcrales

Comprends...
Le soir procure de longs exils
Dussé-je me délecter du péril

Magmar

C’est un être impérial,
Plutôt aigle que canard,
Aux allures royales
Sa personne représente tout un art.
Tempérament de feu
Il a un caractère fort ardent,
Il ne laisse personne indifférent,
Il faut avouer qu’il est majestueux.
Sa personnalité de dieu,
Il ne fait pas les choses en deux.
Ses yeux de lave brillant
Il laisse les autres en admiration,
Il est l’un des meilleurs du bataillon
Des qualités il en a autant.
Esprit enflammé de perfection,
Magmar est le meilleur de la fonction,
Sonnez les tambours,
Magmar et de retour.