| jahaha Membre Saphir |
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| Sujet: [FanFiction] Pépito, dresseur ... particulier - Jeu 5 Juin - 17:00
Des fois, quand je m'ennuie, j'écris. Alors cette fois, j'ai décider d'écrire sur pokemon. Voila ce que ça donne : - Pépito, un dresseur ... particulier:
A Amaillide, le vie était douce pour Pépito. Issue classe trop modeste pour le faire devenir dresseur de Pokemon, il s'était construite une vie heureuse en travaillant dans le laboratoire plasma situé non loin de la, et avait fondé une famille. C'était un homme robuste, un peu bourru, mais sous ces airs mal dégrossi se cachait un cœur d'or. Mais, lorsque la team plasma fut dissoute, il perdit se source de revenus et du trouver un autre job. Pépito décida alors de réaliser son rêve de devenir maître pokemon, il dit au-revoir à sa famille et il prit la route pour Volucité, la ville où tout est possible. Il prévu de prendre ce dont il pourrait avoir besoin : un pokemon puissant et courageux, des potions, des pokeballs, une belle bicyclette, et une carteMais, mais, n'oubliez pas qu'il était pauvre : Il avait fière allure, notre maître pokemon armé d'une tranche de jambon (pokemon) couverte d'herbe (potion), harnaché sur des couvercles de poubelle (vélo), lançant aux pokemon des emballages de gateaux(pokeballs) ! Le trajet fut long, dur mais il réussi à arriver sur place. La vue le sidéra. Les ports, immenses, remplis de somptueuses vedettes, de gigantesques ferry, les grattes ciel, s'élevant dans la nuit jusqu'aux étoiles, étaient beaux à en donner le vertiges.Tout étaient si différent d'Amaillide... Ne sachant pas où aller dans cette ville immense, il erra longuement avant de trouver un bureau le « bureau d’enquête rencontre ». Pensant y trouver des gens bien renseignés, il entra. Dedans, des employés travaillaient sur des cartes, des diagrammes, un petit homme avec un grand manteau interrogeait régulièrement les employés, relevait les fiches déposées dans une corbeilles. Ce dernier accosta Pépito : « -A quel sondage veux tu répondre ? -Euh, en fait, je voudrais être dresseur. Savez vous où faut il aller ? -A quel sondage veux tu répondre ? -Euh... -A quel sondage veux tu répondre ? -Répondez moi ! -A quel sondage veux tu répondre ? » Pépito partit donc. Il se rappela qu'il y avait une arène à Volucité, et décida d'y aller. En route, il rencontra le professeur Keeteleria. Il lui demanda : « Excusez-moi professeur je voudrais être dresseur. Je m’appelle Pépito, et je ... -You !!!! Come on !!! Tu ne peux pas être dresseur. On ne prend comme dresseur que de jeunes, mignons et innocents pré-ado, pour les filmer et en faire des dessins animés et des jeux vidéos. Dans le pire des cas, on peut toujours les vendre, en faire des prostituées ou des hamburger. Mais toi ! Tu es vieux et laid. Personne ne voudrait de toi à la TV, dans un jeux vidéos ou dans un burger. Surtout quand on s’appelle Pépito ! -Mais... -Si tu veux de l'argent, va travailler sur le chantier près du désert délassant. Tu ne seras jamais dresseur. » Pépito, les larmes aux yeux, courut vers l'arène. Ce n'était pas possible : il serait dresseur, c'était son destin... Pourtant, à l'arène, à la Baston Sarl, partout, on lui répétait le même refrain : jamais, jamais, jamais... La mort dans l'âme, il alla travailler au chantier. La-bas, la vie était rude. Il travaillait toute la journée, courbé, aveuglé par les bourrasques, les mains déformées par les poutres de béton. Loin de vivre de passionnantes aventures, il trimait le jour et, la nuit, il était dévoré par la solitude, sa famille étant si loin. Un jour, se sentant plus seul que jamais, sa famille si loin, il décida de se trouver un compagnon. Mais tout les pokemons étaient bien trop cher pour lui. Devant son malheur, une vendeuse de pokemon lui offrit un vieux livre, apparemment trouvé chez un vieil homme de Janusia, dont la vielle demeure avait été laissée à l'abandon. Il y avais dedans diverses formules, dont une qui l'intéressa particulièrement : comment ressusciter un pokemon. Il acheta donc de la viande de Frison au magasin du coin, et tenta le formule. Comme il fallait s'y attendre, la formule ne marcha pas. Mais l'odeur caramélisée de la viande attira la célèbre marchande de glace de Volucité : cette odeur allait parfaitement avec sa glace au lait d'Ecrèmeuh. Elle lui acheta cette viande caramel à un bon prix, et avec l'argent, il décida de s'acheter un pokémon. Tout heureux, il pensait déjà à son pikachu, son cisayox, son dracolosse... Mais, arrivé sur place, les seuls pokemons qu'il pouvaient acheter étaient des ratentifs, linéons, étourmis... Alors qu'il allait se décider pour un castorno, il aperçu un pokemon qui était caché dans un coin : un minuscule Clic, dans une cage qui disait qu'il s'apellait Bip. Il tomba aussitôt sous le charme de ce sourire affectueux, de cette mimique, et il l'acheta sur le champ. Dès lors, il cessa de se morfondre. Le travail l'usait, le torturait, mais la simple pensée de revoir son Clic l'enchantait. Les semaines passaient, le travail était de plus en plus dur, mais grâce aux appels de sa famille, désormais rendu possible grâce au vokit d'occasion qu'il s'était acheté, et à son pokemon, il retrouvait la force de vivre. Un jour, une idée lui traversa l'esprit. Le lendemain aussi. Et le surlendemain. Il se décida : il le ferait. Il pris sa plume, et écrivit une lettre : « Ma chérie, mes enfants, La vie à l'usine est trop difficile pour que j'y reste un jour de plus, elle s'incruste dans mes membres, me torture, me vieillit. Si cela continu, je vais devenir fou. Je ne peux pas prendre soin de Clic si chaque soir mon corps est trop moulu de courbatures pour bouger. Pour lui, pour moi, il faut que je fasse quelque chose. Je vais partir. Peux importe si on ne veux pas de moi, j'y arriverais. Je ne suis peut-être pas beau, pas jeune, mais j'ai la rage, la volonté, le désir de vaincre. Je serais le meilleur ! » Il décida, également, de changer de nom. Pépito étant un peu ridicul pour un maître : Adieu Pépito, bonjour Goyah !
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