| Dracobolosse Membre Rouge |
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| Sujet: Creepypastas: Venez nous partager les vôtres ! - Mer 19 Fév - 23:30
Bonsoir, curieux.
J'ouvre ce sujet qui est un lieu dans lequel, nous pouvons partager des creepypastas, histoires et images dérangentes entre membre. Je fais ce post à la va vite sur mobile, je vais essayer d'arranger cela une autre fois sur ordinateur.
Bref, je voudrais que vous me commenteriez cette creepypasta, dans laquelle j'ai mis coeur et âme pour vous la raconter comme mon grand-père me la raconte. Ceci est ma première fic:
Cette histoire se déroule lors de l'hiver 1943, en Pologne. Moi Boleslaw Ejsmont, millitaire d'une vingtaine d'années vécu une histoire qui a changé ma perception de la vie. Notre escouade, avait pour mission d'aller réceptionner des armes reçues illégalement par une famille de haute bourgeoisie. Ensuite le but était de redistribuer ce stock à la rébellion polonaise pour lutter contre le communisme. Notre escouade était composée de 6 membres dont la moîtié a disparue à cause des conditions trop éprouvantes. "Il est 4h10 du matin !" Soufflai-je dans l'oreille de mon camarade. Je mourais de faim, un crouton de pain sec me restait au fond de ma poche, si je croquais dedans, je risquerais de me briser les dents. J'ètais trempé jusqu'aux os, je manquais de someil et mon fusil comptait plus que 3 balles. "Du nerf ! C'est pas une flaque d'eau qui va te tuer Ejsmont !" Hurla Piotr Gardlasz, notre chef de groupe. Accompagné de ses chiens traqueurs, il nous devançait toujours Marcin et moi. Le meneur mesurait deux mètres pour 120kg de muscles. Vif d'esprit et puissant ce fut un excellent guide qui ne connaisait ni faim ni fatigue. Marcin était un militaire simplet, trappu, mon meilleur ami dans cette aventure. "Arrêtons-nous là. Mettez en place la tente et allumez un feu." Affirma Piotr.
Cette nuit je me devais de déserter. Je pris le fusil de l'un de mes camarades et une tranche de pain humide lorsqu'ils dormaient. Puis je m'enfuis discrétement. C'est environ 1h plus tard que j'entendis les aboiments des chiens qui me traquaient. Je courus de toute ma force et volonté pendant une journée. "J'ai fini par les semer." On ne les entendait plus. Ils abandonèrent leur chasse. Je me suis perdu. Il devait être 2h du matin, j'apperçu une énorme mansarde. Elle semblait inhabitée depuis longtemps. J'arrivai sur le seuil de l'entrée de la maison, et j'examinai la porte. Cette vue m'avait horrifiée ! Deux tâches de sang ornaient la porte. Comme si on avait tranché á deux reprises les épaules de quelqu'un. J'ouvris la porte. Pas de veranda, juste un long couloir droit dont on ne voyait pas le bout, avalé par les ténèbres. J'avançais j'apperçevais du coin de l'oeil des séries de portraits sur lesquels je ne m'attardait longtemps. Après avoir traversé le couloir, on trouvait un énorme salon. Au centre, sur la table éclairait faiblement la salle, une petite bougie qui s'étaigna lorsque j'avais franchi une porte plus loingtaine. Une chambre avec un lit en paille. Epuisé, je me jettai sur le lit et m'endormis aussitôt.
Je m'arrête là pour l'instant. Pensez à donner votre avis. ;) |